Deus te chama

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Introdução

Pendant longtemps la tradition enseignait que le livre du prophète Ésaïe était écrit d’une seule main, par le prophète du même nom. Mais, l’avènement des nouvelles méthodes exégétiques a permis des nouvelles compréhensions du texte et d’être d’accord avec au moins une division en deux parties, le proto-Ésaïe (ch. 1-39), que peut être daté de la fin du VIIIe siècle AEC, et le deutéro-Ésaïe (40-66), qui sous-entend être écrit pendant et tout de suite après la période perse ; Le DtEs peut est être divisé en deux parties (40-55, le deutéro; et 56-66, le trito-Ésaïe). La péricope en question, tiré du Dt Est, a la particularité de montrer fortement les caractéristiques de cette partie du livre, car elle sert de lien entre les deux sous-divisions du Dt Est (40-48 messages à Jacob-Israël, et 49-55 messages à Sion-Jérusalem) ; ainsi, elle est un condensé des principales particularités du Dt-Ès : le nom du prophète ou de(s) l’auteur(s) n’est pas précisé; annonce du salut avec « un nouvel exode » , avec la particularité d’ouverture de celui-ci pour tous ; d’une série de quatre « chants du serviteur », elle consta le deuxième ; et un hymne parmi huit du DtEs. Ceci-dit, elle revendique aussi les questions de cette partie du livre : Qui est vraiment ce serviteur ? ; Quelle est la fonction d'Israël ? Que présupposent ces deux séries de Chants et Hymnes ? Des réponses à ces mystères c’est le but de cette exégèse historico-critique.

I. Crítica textual

A. Tradução

Isaiah 49:1–13 BHS
1 שִׁמְע֤וּ אִיִּים֙ אֵלַ֔י וְהַקְשִׁ֥יבוּ לְאֻמִּ֖ים מֵרָחֹ֑וק יְהוָה֙ מִבֶּ֣טֶן קְרָאָ֔נִי מִמְּעֵ֥י אִמִּ֖י הִזְכִּ֥יר שְׁמִֽי׃ 2 וַיָּ֤שֶׂם פִּי֙ כְּחֶ֣רֶב חַדָּ֔ה בְּצֵ֥ל יָדֹ֖ו הֶחְבִּיאָ֑נִי וַיְשִׂימֵ֨נִי֙ לְחֵ֣ץ בָּר֔וּר בְּאַשְׁפָּתֹ֖ו הִסְתִּירָֽנִי׃ 3 וַיֹּ֥אמֶר לִ֖י עַבְדִּי־אָ֑תָּה יִשְׂרָאֵ֕ל אֲשֶׁר־בְּךָ֖ אֶתְפָּאָֽר׃ 4 וַאֲנִ֤י אָמַ֨רְתִּי֙ לְרִ֣יק יָגַ֔עְתִּי לְתֹ֥הוּ וְהֶ֖בֶל כֹּחִ֣י כִלֵּ֑יתִי אָכֵן֙ מִשְׁפָּטִ֣י אֶת־יְהוָ֔ה וּפְעֻלָּתִ֖י אֶת־אֱלֹהָֽי׃ 5 וְעַתָּ֣ה׀ אָמַ֣ר יְהוָ֗ה יֹצְרִ֤י מִבֶּ֨טֶן֙ לְעֶ֣בֶד לֹ֔ו לְשֹׁובֵ֤ב יַֽעֲקֹב֙ אֵלָ֔יו וְיִשְׂרָאֵ֖ל לֹ֣א יֵאָסֵ֑ף וְאֶכָּבֵד֙ בְּעֵינֵ֣י יְהוָ֔ה וֵאלֹהַ֖י הָיָ֥ה עֻזִּֽי׃ 6 וַיֹּ֗אמֶר נָקֵ֨ל מִֽהְיֹותְךָ֥ לִי֙ עֶ֔בֶד לְהָקִים֙ אֶת־שִׁבְטֵ֣י יַעֲקֹ֔ב וּנְציּרֵ֥י יִשְׂרָאֵ֖ל לְהָשִׁ֑יב וּנְתַתִּ֨יךָ֙ לְאֹ֣ור גֹּויִ֔ם לִֽהְיֹ֥ות יְשׁוּעָתִ֖י עַד־קְצֵ֥ה הָאָֽרֶץ׃ ס 7 כֹּ֣ה אָֽמַר־יְהוָה֩ גֹּאֵ֨ל יִשְׂרָאֵ֜ל קְדֹושֹׁ֗ו לִבְזֹה־נֶ֜פֶשׁ לִמְתָ֤עֵֽב גֹּוי֙ לְעֶ֣בֶד מֹשְׁלִ֔ים מְלָכִים֙ יִרְא֣וּ וָקָ֔מוּ שָׂרִ֖ים וְיִֽשְׁתַּחֲוּ֑וּ לְמַ֤עַן יְהוָה֙ אֲשֶׁ֣ר נֶאֱמָ֔ן קְדֹ֥שׁ יִשְׂרָאֵ֖ל וַיִּבְחָרֶֽךָּ׃ 8 כֹּ֣ה׀ אָמַ֣ר יְהוָ֗ה בְּעֵ֤ת רָצֹון֙ עֲנִיתִ֔יךָ וּבְיֹ֥ום יְשׁוּעָ֖ה עֲזַרְתִּ֑יךָ וְאֶצָּרְךָ֗ וְאֶתֶּנְךָ֙ לִבְרִ֣ית עָ֔ם לְהָקִ֣ים אֶ֔רֶץ לְהַנְחִ֖יל נְחָלֹ֥ות שֹׁמֵמֹֽות׃ 9 לֵאמֹ֤ר לַֽאֲסוּרִים֙ צֵ֔אוּ לַאֲשֶׁ֥ר בַּחֹ֖שֶׁךְ הִגָּל֑וּ עַל־דְּרָכִ֣ים יִרְע֔וּ וּבְכָל־שְׁפָיִ֖ים מַרְעִיתָֽם׃ 10 לֹ֤א יִרְעָ֨בוּ֙ וְלֹ֣א יִצְמָ֔אוּ וְלֹא־יַכֵּ֥ם שָׁרָ֖ב וָשָׁ֑מֶשׁ כִּי־מְרַחֲמָ֣ם יְנַהֲגֵ֔ם וְעַל־מַבּ֥וּעֵי מַ֖יִם יְנַהֲלֵֽם׃ 11 וְשַׂמְתִּ֥י כָל־הָרַ֖י לַדָּ֑רֶךְ וּמְסִלֹּתַ֖י יְרֻמֽוּן׃ 12 הִנֵּה־אֵ֕לֶּה מֵרָחֹ֖וק יָבֹ֑אוּ וְהִֽנֵּה־אֵ֨לֶּה֙ מִצָּפֹ֣ון וּמִיָּ֔ם וְאֵ֖לֶּה מֵאֶ֥רֶץ סִינִֽים׃ 13 רָנּ֤וּ שָׁמַ֨יִם֙ וְגִ֣ילִי אָ֔רֶץ יּפִצְח֥וּ הָרִ֖ים רִנָּ֑ה כִּֽי־נִחַ֤ם יְהוָה֙ עַמֹּ֔ו וַעֲנִיָּ֖ו יְרַחֵֽם׃ ס
1 Iles, écoutez-moi ! Peuples, faites attention ! YHWH m'appelé dès le ventre, dès les entrailles de ma mère il a mentionné mon nom. 2 Il mit ma bouche comme une épée tranchante, il m'a caché dans l’ombre de sa main(a); il m'a mis pour flèche aiguisé et il m’a abrité dans son carquois. 3 Il m'a dit: « Tu es mon serviteur; Israël(b), par toi je manifesterai ma gloire. » 4 Et moi, j'ai dit: « j'ai fatigué en vain ; J’ai gaspillé ma force pour rien et un souffle(c). » Cependant, ma justice est avec YHWH et ma récompense est avec mon Dieu. 5 Et maintenant, YHWH a parlé - lui qui m'a moulé dès le ventre afin de lui servir, pour retourner Jacob à lui, alors Israël sera rassemblé(d) vers luie ; (g)puis je serai respecté(f) aux yeux de YHWH, ainsi mon Dieu a été ma force(g)-. 6 Il dit(h): « C'est léger pour moi que tu sois un serviteur, pour faire lever les tribus de Jacob, afin de faire retourner les préservési de Israël ; je vous ai donné pour lumière des nations, pour devenir mon salut jusqu'à l’extrémité de la Terre. »
7 Ainsi a parlé YHWH - le rédempteur d’Israël, son Saint – vers sa personnej mépriséek, au détestél des nationsm, au serviteur des princes : « Des rois verront et se lèveront, des princes se prosternerontn ; » - ceci, à cause de YHWH qui a été fidèle – « le Saint d’Israël te choisit. »
8 Ainsi a parlé YHWH: « Dans un temps de faveur je t'ai réponduo, dans un jour de salut je t'ai secouru; je te garderai et je te donnerai un peuple pour alliance, pour établir un pays, pour recevoir des héritages ruinés. 9 Ceci, afin de dire à ceux qui sont liés: “sortez !” à ceux qui sont dans l’obscurité : “soyez découverts!” ; ils pâtureront sur des chemins, et dans tous les lieux élevés dénudés seront leurs pâturages. 10 Ils n'auront pas faim et ils n'auront pas soif , ni les frappera pas du sable et du soleil ; car celui qui les aime les conduira, à une source d'eau il les conduira. 11 Et je mettrai toutes mes montagnes pour un chemin ; ainsi mes routes seront élevées. 12 Les voici, ils viennent de loin; les voici, du nord et de l’ouest et ceux de la terre de Assouanp. »
13 Cieux, jubilez ! ; et terre, réjouis-toi ! ; des montagnes éclaterontq de joie. Car YHWH a consolé son peuple ; il aura compassion de ses malheureux.

B. Critique :

a Dans 1QIsa il y a ידיו « dans ses mains » mais ne change pas le sens de la phrase. ||b יִשְׂרָאֵ֕ל n’est pas présent dans un des manuscrits massorétiques, le Kenn. 96. Il semble être une omission involontaire de la part du scribe qui, peut-être, à cause du יִשְׂרָאֵ֕ל אֲשֶׁר, sin resh – shin resh, a sauté le premier mot en causant un homéoarcton, résultant ainsi une omission. En revanche, la leçon de la B 19A contenant le terme est abondamment soutenue ; en plus, elle a plus de valeur, car elle parait être plus ancienne et surtout largement plus appuyé. Une autre possibilité pour expliquer la présence de יִשְׂרָאֵ֕ל serait une glose très ancienne et qu’a dû être recopié dans les manuscrits plus tardifs et, comme la démontré Blenkinsopp, « le glossateur l’aurait donc comprise comme une apposition plutôt qu’un vocatif »[1] car, selon lui, Israel ne serai pas un individu (cf. v. 5-6). ||c 1QIsa il y a ולהבל avec une insistance en repentant la préposition ל du mot antérieur, mais qui ne s’impose pas nécessairement pour la traduction. ||d Une autre possibilité (cf. Baltzer, 2001, p. 305, nt.) c’est de le remplacer par אֶאֱסֹף (cf. la version Syriaque, mais ce témoin est beaucoup moins important). ||e Pour ne pas causer un contre sens, comme l’indique le Qere, appuyé par d’importantes manuscrits (1QIsaa, LXX, α ́, E, cf. Tg), il est préférable de lire לוֹ « vers lui ». ||f La LXX et la Syriaque proposent וָ׳, mais si g-g est gardé comme tel, c’est préférable qu’il reste à l’imparfait pour garder le consécutif. ||g–g C’est tout à fait possible que cette partie aye été à la fin du v. 4 car elle continuerait la biographie du serviteur, mais comme les ו peuvent avoir plusieurs sens et causer des ambigüités, ainsi c’est possible de le garder cet extrait de la sorte, comme une récompense d’avoir servi. ||h וַיֹּאמֶר dans le TM a été ajouté pour rappeler qui est en train de parler ; dans la traduction, c’est préférable de le garder car il pourrait se prêter confusion pour savoir qui est en train de parler a qui. ||i Ce terme, compris comme une erreur par les massorètes reste ici comme un participe passif m. pl. cs., car il est en rapport avec d’autres passages proches (cf. 42, 6 ; 48, 6 et 49, 8)[2].
||j Comme des témoins importants (la LXX et la Syriaque) indiquent l’ajout du suff 3 m. sg., ainsi il faut lire נַפְשׁוֹ « sa personne ». ||k - Pour ne pas prêter confusion, il faut lire « au méprisé », donc au passif, comme l’indique les fragments de la Geniza du Caire et la LXX appuyé par 1QIsa, la Syriaque le Targum et autres. ||l C’est préférable la variante de la LXX (appuyé par le Targum), τὸν βδελυσσόμενον « le détesté », car elle permet de comprendre que l’objet est passif et au sg, et ||m l’agent (des nations) au pluriel. ||n Pour éviter l’erreur d’écriture du redoublement de voyelle et rester avec la correction du codex de Lenningrad et ceux de la collection de Kennicott וְיִשְׂתַּחֲווּ. ||o La LXX contenant « je vous ai entendu » ne s’impose pas. ||p Malgré le MT avec סִינִים (qui a débouché dans toute une tradition de spéculation si c’était Chine qui était en question ici. Mais fort heureusement, appuyé par 1QIsa, la recherche plus récente (cf. Westermann et Watts) mène à indiquer plus tôt qui c’est la ville d’Assouan en Egypte ; La LXX a « les perses ».
||q Attention à la correction vocalique faite par le Qere et les MTs, précisant que c’est une constatation d’un fait « elles éclaterons », et non une obligeance avec יִפְצְחוּ « elles doivent s’éclater ».

II. Análise sincrônica

A. Contexte littéraire et délimitation

Depuis Es 49 le texte se tourne vers Jérusalem. Des thèmes importants de la première partie du DtEs n’y sont plus, comme : les problèmes avec des divinités et d’idolâtrie ; Cyrus ou même la Babylone n’est plus démontrée comme un instrument de Dieu ; et Jacob-Israël sont cités seulement dans Es 49,5-6 pour le DtEs. La péricope est divisée par les massorètes avec un parashot fermé (ס) à la fin du v 6 et un autre à la fin du v. 13 ; mais dans un contexte plus large, le parashot ouvert (פ) - celui qui démarque les sauts de ligne (changement margeur du texte, comme les paragraphes d’aujourd’hui) - signale que de 48, 17 jusqu’à 49, 21 il y a des liens « thématiques et linguistiques »[3]. En plus, la première partie (Es 49, 1-6), connue sous le nom de deuxième Chant du Serviteur[4] de YHWH[5], avec son élection avant sa naissance, démontre la liaison de la péricope avec d’autres passages du DtEs, par exemple, les autres trois chants (42, 1–4; 49, 1–6 ; 50, 4–9; 53, 1–12)[6].
Par rapport l’id’entité du serviteur de YHWH, cette identité n’est pas prise par un personnage figé, mais, au fil du texte, plusieurs figures individuelles ou même collectives y sont incorporées à l’identité du Serviteur, par exemple, 43, 14 (YHWH), 45, 1 (Cyrus), 49, 3 (Israël) 53, 3-4 (un homme qui souffre). Donc, les promesses de rédemption rappelées dans 49,1-13 seraient censés être accomplies pour Israël et pour les outres nations par ce mystérieux serviteur, qu’a un appel prénatal (cf. la naissance de Sanson dans Jg 13, 7 ; Samuel dans 4Q51 2, 3 ; Jérémie 1, 5)[7].
L’hymne de 49,13 fais partie d’une série de huit hymnes dans DtEs (cf. Westermann 1969 et Whybray 2003 qui mettent en rapport les hymnes avec le Ps 117)[8]. La péricope n’est pas mise en danger si une lecture ne pendre pas en considération 49, 13. Le texte peut très bien passer du v. 12 au v. 14. Donc, cet hymne, compris comme indépendant et mis en corrélation avec les autres sept, peut être compris comme un (des) pilier(s) dans la structure du DtEs ; ainsi, il a eu un but de le mettre là où il est, car il est justement au centre du DtEs et sers de transition entre les deux grandes sections : a) Jacob-Israël (40, 12 - 48, 22), et b) Sion-Jérusalem (49, 14 - 55, 7).

B. Proposition de structure et d’organisation

I : 49,1-6 : Serviteur de YHWH ( Deuxième poème/chant du). Annonce la parole de YHWH est actif et le Serviteur très passif. I.a : 1-2 : Le serviteur est mis en évidence. (1a : Mise en scène de l’appel à l’attention du serviteur qui sera l’instrument pour la proclamation du salut ; destiné à toute la création ? ; 1b : Argument de justification du choix du serviteur ; 2 : Le but de l’appel de la part de YHWH au Serviteur, 1ère fois.). I.b : 3-4 – Interaction entre YHWH et le Serviteur (3 : Le but de l’appel de la part de YHWH au Serviteur, 2ème fois. 4 : Dépendance de la part du Serviteur à l’égard de YHWH.). I.c : 5 - 6 : YHWH est l’agent et le salut est ouvert à tous (5a : Insistance avec le rappel de la mise en scène de l’appel à l’attention du serviteur qui sera l’instrument pour la proclamation du salut. 5b : Le but de l’appel de la part de YHWH au Serviteur (3èmefois). 6 : Israël et toutes les nations seront l’objet de l’accomplissement de la promesse de salut).
II : 49, 7 : Liaison entre les deux sections de la péricope ; YHWH (le rédempteur et le Saint de Israël) parle au serviteur (en difficulté).
III : 49, 8 - 12 : Ouverture du salut pour tous : III.a : 8 - Discours de YHWH vers le porteur du message ; III.b : 9a - Le message de YHWH par le Serviteur ; III.c - 9b-11 : La manière de la libération ; III.d : 12 : Tous les peuples convergeront vers le Serviteur (cf. 49, 6).
IV : 49, 13 : Hymne du serviteur. Partie indépendante. Destiné à toute la création. Passage pour la section Sion-Jérusalem.

C. Genre littéraire

Le texte prophétique dans Es 49, 1-13 peut être vue comme un oracle de salut composé de poésie ( 1-6) et d’un hymne (13).

III. Analyse diachronique. Datation, contexte historique, processus rédactionnel.

Si cette péricope, dans sa forme finale, peut être daté, ainsi comme l’ensemble du livre d’Esaïe, autours du IIème siècle d’avant notre ère[9]. Elle présente des indices qui indiquent la fusion de plusieurs récits indépendants. En fait, elle serait composée de parties, des strates, tirées de plusieurs ensembles distinctes (recueil de chant du serviteur, un petit ensemble d’hymnes et des discours prophétique).
49, 1-6 : Le deuxième chant du serviteur, dans ce cas comme un prophète et non comme la personne étrangère du roi Cyrus, suit l’appel à quitter Babylone (48, 20s) et donc, a pu être composé en Phénicie au tour de 540 AEC.[10] Le terme אִיִּים֙, au v. 1, impliqué dans ceux qui doivent faire attention au message/revendication, peut-être en rélation aux iles et aussi à la côte de la mer Méditerranée ; Cela servirait comme un message d’ouverture pour les autres nations, mais plus spécifiquement a pu être une référence aux juifs de la diaspora. La politique de l’empire perse a permis plusieurs peuples exilés rentrer dans son propre pays, les judéens inclus. Cependant ce chant aurait eu seulement été ajouté à la péricope au tour de 270 av. n. è. comme une résonance du fervent contexte du Deuxième Temple juif de cette époque.
49, 7 -12 : Dans les v. 7-8, une nouvelle manière introductive, « ainsi parle », avec le verbe qui n’est plus au passé. Ceci démontre un changement de rôle car le serviteur est démontré maintenant en étant en difficulté. Les v. 9-12 démontrent l’importance de rentrer dans le pays ; donc il n’est pas encore arrivé. Cependant, סִינִֽים au v. 12, comme telle, est attesté seulement dans ce verset parmi toute la BH ; donc c’est un hapax legomenon de l’auteur. Si elle fait référence à la ville de Assouan (cf. Ez 29, 10 ; 30, 6 c’est la même ville que « Syène » ?), la frontière entre Egypte et Koush. Le nom vient de la racine swnen égyptien, c’est-à-dire « commercer » . La ville existait bien avant les papyrus d’Eléphantine au Ve siècle où elle est attestée et même si c’est débattu, la présence des Judéens à cet endroit, pourrait être entre le VIII et le VIe siècle[11]. Ceci pourrait être un indice pour la datation de ce verset.
49, 13 : Probablement l’hymne ( ou plus tôt, un refrain assez facile à mémoriser) fais partie d’une collection antérieure ; car, si pour l’auteur YHWH est le seigneur de tout l’univers, cette théologie entre en conflit avec le polythéisme vécu pendant la domination babylonienne et perse. Donc ce texte est probablement d’après la domination de ce dernier.
Comme proposition de l’histoire de la rédaction, la deuxième partie du DtEs serait plus ou moins « dès le Vesiècle AEC en Judée»[12]. Il n’est pas impossible que cette péricope n’ait pas été composé en une seule fois ; mais, elle a eu quelques aménagements et ajouts (par exemple la glose du v. 3 יִשְׂרָאֵל); ainsi, il ne peut pas être soutenu qu’il est l’ouvre d’un seul auteur. Donc, l’unité littéraire n’est pas assez plausible à cause du changement dans toute la péricope entre le chant du serviteur (v. 1-6 : vers 540 AEC[13]), le discours (v. 7-11 qu’est à peu près la même époque, mais comme une relecture, et donc serait d’une autre main ; + v. 12 où Assouan – ville importante pour la communauté de « la diaspora juive en Egypte »[14] est un indice important pour que l’auteur puisse la citer vers 450 AEC), et l’hymne (v. 13 établissement du deuxième Temple). Ces différentes parties, mises ensemble avant la fin du IIe siècle AEC, font allusion aux deux parties (Jacob/Israël et Sion/Jérusalem); donc c’est un pont bien construit ; cependant, individuellement, elles peuvent très bien être comprises comme appartenant à d’autres ensembles individuels et y auraient leurs rôles propres.

IV. Exégèse d’ensemble

1 – L’auteur, tout de suite précise à qui est adressé le message, c’est-à-dire à tous les gens, et réclame d’amblé, et malgré lui, le droit d’être entendu car il a été choisi, et a reçu l’autorité qui va avec, par la divinité pour accomplir sa mission avant même de naître. C’est possible de percevoir les parallèles avec la séparation de Jérémie, Samson et Samuel déjà cités avant, mais aussi avec Assurbanipal qui clama le droit d’être roi[15].
2 – Le serviteur, une foi appelé pour la mission, il est armé de la parole de la divinité, donc du message. Cette arme prendre deux formes pour deux types de combat : rapprochée (l’épée – cf. Sg 18, 15-16) et distant (la flèche). C’est aussi possible que l’auteur aie connu l’épopée de Gilgamesh[16]. En fait, le protecteur du messager est celui qui l’a choisi et l’envoyé.
3 - וַיֹּאמֶר : Parmi les trois sens les plus courants « dire, parler et déclarer », le premier à une large majorité avec 253 fois, contre 3 fois et 0 fois pour les autres dans le livre d’Esaïe. Ainsi, il y a pratiquement une convention pour ce terme en français, et donc fort déséquilibre. Cependant, dans la LXX cette préférence est moins accentuée. Donc, les choix des traducteurs sont fortement influencés par les premiers choix de ses prédécesseurs. En plus, « dire » est souvent utilisé principalement quand YHWH a besoin exprimer quel chose. עַבְדִּי : Même si « esclave » a 10% dans les traductions et combine très bien avec le contexte DtEs (libération et retour des exilés), le contexte directe de la péricope et son style poétique fais pencher la traduction pour « serviteur », qui est le plus courant. La possible glose avec יִשְׂרָאֵל aurait eu le but de préciser la participation de Israël dans la manifestation de la gloire, comme l’est aussi précisé dans d’autres passages de la première partie du DtEs. La particule conjonctive אֲשֶׁר, dans la phrase, c’est presque une redondance qui sonne bien en hébreu, mais mois bien dans la langue cible. בְּךָ « dans toi ; par toi », terme ambigu, mais le deuxième a été préféré car il donne, dans la phrase, l’idée d’instrument qui sera utilisé en bénéfice des autres ; et pas seulement l’objet de la bénédiction. אֶתְפָּאָר c’est difficile car les sens « je me manifesterai ; je manifesterai ma gloire/splendeur ; je montrerai ma gloire » sont assez subtils. Le premier a reçu la priorité, car la phrase semble montrer que c’est YHWH qui est en train de s’exprimer par la voix du narrateur/serviteur, donc il est le personnage actif et il utilise un instrument pour se manifester/agir. Donc, les laures vont à lui [seul] et pas à l’instrument.
4 – Malgré la certitude de son appel, la dépression arrive ; mais il y a un crescendo vers le bonheur (la récompense). L’auteur mets l’emphase de la consciente difficulté du serviteur avec le pronom.
5 – Rappel de l’appel (v. 1) et la supposition que le serviteur ne peut pas être le peuple d’Israël, car ce serviteur a une reçu un but de la mission très claire : rassembler Jacob-Israël pour qu’ils ne périssent pas (cf. Za 12, 10 - 13, 1), donc il ne peut pas le faire ceci à lui-même. Même si la mission est difficile, à cause de son appel, le serviteur est se voit cher aux yeux de YHWH (cf. 43, 4).
6 – Rassembler Israël n’est pas tout, le but même c’est que le salut puisse arriver vers les autres peuples. Il y a un problème, ou plus-tôt la solution isaïenne : le monothéisme vers d’autres peuples polythéistes (voir 42, 6 ; 45, 22).
7 - גֹּאֵל – Ce verbe, simple, actif, participe, masculin, singulier, construit, « racheteur » a le sens de acheter/acquérir encore une fois ; « être en possession à nouveau»[17]. Bien qu'en étant largement utilisé dans le Deutéro(10x)-Trito(2x)-Esaïe, cette forme verbale est trouvée dans toute le TaNaKh (30x), sur tout גֹּאֵ֣ל הַדָּ֔ם"vengeur du sang" (12x particulièrement dans Nb 35). La racine indique une habitude liée à « la loi orientale de la parenté »[18] selon laquelle le parent le plus proche, dans le but de défendre les intérêts du clan, a la responsabilité, et même le devoir, de racheter les biens perdus[19](vendus, dans le sens que ces biens étaient devenus des bénéfices pour d'autres clans qui n'étaient pas ses propriétaires originels, et qu'en mesure de trop en acheter des choses des autres clans, ils deviennent trop importantes, donc il fallait les racheter en retour). Concernant son utilisation dans le DtEs, c'est Yhwh qu'est désigné dans le rôle de parent plus proche, ceci pour indiquer une liaison très forte entre lui, le propriétaire originel, et la propriété. Ainsi, en ayant ce qualitatif (un adjectif adverbial), Yhwh est le responsable, l'agent rédempteur de Israel - ainsi comme dans le récit de Ruth où la loi de la parenté é importante pour que tout rentre dans l'ordre des choses. En Es 49,7 ce n’est pas un homme, comme le gouverneur perse Cyrus (cf. Es 40-48 ), un prophète ou même le peuple d'Israël - celui-ci, il-même, comme le démontre 5x dans le DtEs, será racheté par Yhwh. Ce terme mis en rapport avec les ketoubim poétiques - car cette péricope est encadrée par des textes poétiques (chant//hymne) - peut avoir un sens de « rédempteur/racheteur de la mort/exile»[20]. En précisant qui est le racheteur/rédempteur de Es 49,7 (cf. 49, 26) consolida le passage entre la première partie "Jacob-Israel" à la deuxième partie "Sion-Jérusalem) du DtEs en ayant maintenant comme garantie de réussite la divinité, elle-même, par qui sera accomplie effectivement sa promesse de salut universel.
8 - (55, 3) – בְרִית – « Alliance », pacte entre hommes (cf. 2S 3, 12) ou entre une divinité et les humains. Dans 49, 8 c’est le serviteur de Yhwh qui sers comme instrument, « pour alliance du peuple » (cf. 42, 6 et Ml 3, 1). En revanche, 55, 3 il a le sens de « contrat ; convenance » constitué par des promesses de Yhwh vers son peuple ; ainsi, ce contrat a l’avantage d’avoir la divinité, elle-même, comme garant et acteur actif des grands faits/signes (cf. Gn 9,9-17).
9-10 – Comme le v. 8, c’est YHWH qui est le garant de l’accomplissement de la délivrance/salut (cf.42, 7) car il est le rédempteur (v. 7), donc du changement de situation : liberté (48, 20), lumière, protection (accomplissement de 35, 7), à manger et à boire (41, 18 ; 43, 20). Ainsi, la satisfaction est YHWH.
11-12 – Les routes élevées peuvent avoir un sens de construction de quelque chose de plus, comme une ville (cf. Pv 11, 11) ou un temple (Si 49, 12) ; Baal[21]construit aussi un palace. « Les voici », ou « ils arrivent » est un rassemblement des gens de toutes les régions, même de la mer (iles du v.1). La ville d’Assouan, en face de Eléphantine, est aussi mentionné dans Ez 29, 10 ; 30, 6.
13 – Cet hymne, avec trois impératifs (cf. 44, 23) à la gloire de YHWH pour ses biens faits. La consolation a le but de renvoyer à(ou de rappeler) l’introduction du DtEs en 40, 1ss. Ainsi la boucle est bouclée.

V. Conclusion

L’annonce du salut (d’un nouvel exode) avec le retour de la diaspora, est un thème central dans Es 49, 1-13 ; cependant, il est lié à la figure du serviteur de YHWH dans tout le DtEs, qui comme démontré, n’est pas un personnage incorporé seulement par un acteur figé, mais qui, à la mesure du déroulé de la trame, est incorporé par différents acteurs individuels (ex. : le prophète, un Messie, YHWH ; ou un personnage historique, comme Cyrus, Néhémie), ou par un groupe (le peuple d’Israël ou ses rescapés). Le chant du serviteur et l’hymne indique être un commentaire sur d’autres passages du DtEs, donc il est au moins de la main de quelqu’un proche de l’école prophétique isaïenne. La délivrance est pour Israël de la diaspora, mais est aussi est l’ouverture - par YHWH, qui se porte comme véritable garant pour l’accomplissement de sa promesse - du salut à tous les peuples des régions connues. Ainsi, dans cette péricope, Israël, ni le prophète, ni une autre figure historique, n’ont pas arrivé à être l’instrument efficace pour le salut ; mais ils sont, comme tous les autres, bénéficiés par le vrai rédempteur, YHWH.

II - Pregação

A - Deus te chama para pertencer a ele e a servi-lo

1 - Deus chama todas as pessoas em todos os lugares

Acts 17:30 NAA
30 Deus não levou em conta os tempos da ignorância, mas agora ele ordena a todas as pessoas, em todos os lugares, que se arrependam.
Veja também Pv 8.4; Is 45.22; Is 55.1; Mt 9.13; Mt 11.28–30; Mt 22.9; Jo 7.37; At 2.39; Rm 10.18; Sl 19.4

2 - Poucos respondem positivamente ao chamado de Deus

Matthew 22:14 NAA
14 Porque muitos são chamados, mas poucos são escolhidos.
Veja também Is 65.12; Is 66.4; Jr 7.13; Jr 35.17; Mt 22.2–10

3 - Respondendo ao chamado de Deus resulta em salvação

Hb 9.15; Jd 1
Hebrews 9:15 NAA
15 Por isso mesmo, ele é o Mediador da nova aliança, a fim de que os que foram chamados recebam a promessa da herança eterna, visto que houve uma morte para remissão das transgressões que foram cometidas sob a primeira aliança.
Jude 1 NAA
1 Judas, servo de Jesus Cristo e irmão de Tiago, aos que foram chamados, são amados em Deus Pai e guardados em Jesus Cristo.
Veja também Jo 5.25; Jo 10.3; Rm 1.6; Rm 8.28–30; Rm 11.29; 1Co 1.9; 1Co 1.24–29; 1Co 7.18–22; Gl 1.6; Ef 4.1; Fp 3.14; 2Ts 1.11; 2Ts 2.14; 1Tm 6.12; Hb 3.1; 1Pe 5.10; 2Pe 1.3; 2Pe 1.10; Ap 17.14

B - Deus chama te chama para viver diferentemente

2Tm 1.9; 1Pe 2.9
2 Timothy 1:9 NAA
9 que nos salvou e nos chamou com santa vocação, não segundo as nossas obras, mas conforme a sua própria determinação e graça que nos foi dada em Cristo Jesus, antes dos tempos eternos,
1 Peter 2:9 NAA
9 Vocês, porém, são geração eleita, sacerdócio real, nação santa, povo de propriedade exclusiva de Deus, a fim de proclamar as virtudes daquele que os chamou das trevas para a sua maravilhosa luz.

1 - Vivendo em paz:

1Co 7.15; Cl 3.15
1 Corinthians 7:15 NAA
15 Mas, se o não crente quiser separar-se, que se separe. Em tais casos, não fica sujeito à servidão nem o irmão, nem a irmã; Deus chamou vocês para viverem em paz.
Colossians 3:15 NAA
15 Que a paz de Cristo seja o árbitro no coração de vocês, pois foi para essa paz que vocês foram chamados em um só corpo. E sejam agradecidos.

2 - Viver com esperança:

Ef 1.18; Ef 4.4; 1Pe 2.20–21; 1Pe 3.9
1 Peter 2:20–21 NAA
20 Pois que glória há, se, pecando e sendo castigados por isso, vocês o suportam com paciência? Se, entretanto, quando praticam o bem, vocês são igualmente afligidos e o suportam com paciência, isto é agradável a Deus. 21 Porque para isto mesmo vocês foram chamados, pois também Cristo sofreu no lugar de vocês, deixando exemplo para que vocês sigam os seus passos.
1 Thessalonians 4:7 NAA
7 Pois Deus não nos chamou para a impureza, e sim para a santificação.

C - Deus chamou indivíduos particulares para fazer tarefas específicas em momentos específicos

1 - Abraão:

Gn 12.1–3; Is 51.2; Hb 11.8
Genesis 12:1–3 NAA
1 O Senhor disse a Abrão: — Saia da sua terra, da sua parentela e da casa do seu pai e vá para a terra que lhe mostrarei. 2 Farei de você uma grande nação, e o abençoarei, e engrandecerei o seu nome. Seja uma bênção! 3 Abençoarei aqueles que o abençoarem e amaldiçoarei aquele que o amaldiçoar. Em você serão benditas todas as famílias da terra.

2 - Ciro:

Is 41.2; Is 45.4
Isaiah 41:2 NAA
2 “Quem fez surgir no Oriente aquele a cujos passos segue a vitória? Quem lhe entrega as nações e faz com que os reis se submetam a ele? Com a sua espada ele os transforma em pó, e com o seu arco, em palha que o vento dispersa.

3 - O servo do Senhor:

Is 42.6; Is 49.1
Isaiah 49:1 NAA
1 Escutem, terras do mar, e vocês, povos de longe, prestem atenção! O Senhor me chamou desde o meu nascimento, desde o ventre de minha mãe fez menção do meu nome.

4 - Jonas:

Jn 1.1–2; Jn 3.1–2
Jonah 1:1–2 NAA
1 A palavra do Senhor veio a Jonas, filho de Amitai, dizendo: 2 — Levante-se, vá à grande cidade de Nínive e pregue contra ela, porque a sua maldade subiu até a minha presença.

5 - Os discípulos:

Mt 4.18–22; Lc 5.2–11; Jo 1.35–42
Matthew 4:18–22 NAA
18 Caminhando junto ao mar da Galileia, Jesus viu dois irmãos, Simão, chamado Pedro, e André. Eles lançavam as redes ao mar, porque eram pescadores. 19 Jesus lhes disse: — Venham comigo, e eu os farei pescadores de gente. 20 Então eles deixaram imediatamente as redes e o seguiram. 21 Pouco mais adiante, Jesus viu outros dois irmãos, Tiago, filho de Zebedeu, e João, o irmão dele. Eles estavam no barco em companhia de seu pai, consertando as redes; e Jesus os chamou. 22 Então eles, no mesmo instante, deixaram o barco e seu pai e seguiram Jesus.

6 - Paulo:

Rm 1.1; 1Co 1.1; Gl 1.15
Romans 1:1 NAA
1 Paulo, servo de Cristo Jesus, chamado para ser apóstolo, separado para o evangelho de Deus,

D - Deus chamou um povo, Israel, para servi-lo de uma maneira especial

Isaiah 43:1 NAA
1 Mas agora, assim diz o Senhor, que o criou, ó Jacó, e que o formou, ó Israel: “Não tenha medo, porque eu o remi; eu o chamei pelo seu nome; você é meu.
Veja também Os 11.1–2
Hosea 11:1–2 NAA
1 “Quando Israel era menino, eu o amei; e do Egito chamei o meu filho. 2 Quanto mais eu os chamava, tanto mais se afastavam de mim; sacrificavam a baalins e queimavam incenso às imagens de escultura.

E - O lugar do crente na vida é entendido como um chamado

1 Corinthians 7:17 NAA
17 No mais, que cada um ande segundo o que o Senhor lhe concedeu, conforme Deus o chamou. É isto que ordeno em todas as igrejas.
Veja também 1Co 7.20; 1Co 7.24

VI. Bibliographie

A. Livres

v Baltzer Klaus, Deutero-Isaiah: A commentary on Isaiah 40-55, trad. Margaret Kohl, Minneapolis, Fortress Press, coll. « Hermeneia--a critical and historical commentary on the Bible », 2001, p. 305-317.
v Béré Paul, « Le second Serviteur de Yhwh: Un portrait exégétique de Josué dans le livre éponyme », Fribourg / Göttingen, 2012, p. 41.
v BlenkinsoppJoseph, Isaiah 40-55: A New Translation with Introduction and Commentary, New York et alii, Doubleday, coll. « Anchor Bible », 2002, p. 297-307.
v Bonnard Pierre E., Le second Isaïe, son disciple et leurs éditeurs: Isaïe 40-66, Paris, J. Gabalda, coll. « Etudes bibliques », 1972, p. 212-224.
v Condamin Albert, Le livre d’Isaïe : Traduction critique avec notes et commentaires, Paris, V. Lecoffre, coll. « Études Bibliques », 1905, p. 296-312.
v Koole Jan Leunis, Isaiah. Part 3, Volume 2: Is 49-55, trad. Anthony P. Runia, Leuven, Peeters, coll. « Historical commentary on the Old Testament », 1998, p. 1-47.
v McKenzie John L., Second Isaiah: Introduction, translation, and notes, New Haven, Yale Univ. Press, coll. « The Anchor Yale Bible », 1968, p. 103-109.
v Paul Shalom M., Isaiah 40-66: Translation and commentary, Grand Rapids, Mich, Eerdmans, coll. « The Eerdmans critical commentary », 2012, p. 321-331.
v Paul Shalom M., Divrei Shalom collected studies of Shalom M. Paul on the Bible and the ancient Near East, 1967-2005 = [Divre Shalom (Devarim 2, 26; Ester 9, 30), Leiden; Boston, Brill, 2005.
v ObengaThéophile, « L’époque saïte », dans Alberto Ollé-Martins et Caroline Aymé-Martins (dir.), Histoire de l’humanité - Vol III - Du VIIe siècle av.J.-C. au VIIe siècle de l’ère chrétienne, trad. Violaine Decang et trad. Miguel Iglesias, Paris, Unesco, coll. « Histoire de l’humanité », 2005, vol. 7/3, p. 699‑708.
v VermeylenJacques, « Isaías », dans Jean-Daniel Macchi, Christophe Nihan et Thomas Römer (dir.), Antigo Testamento: história, escritura e teologia, trad. Gilmar Saint Clair Ribeiro, 2eéd., São Paulo, Loyola, 2010, p. 401‑418.
v Walker Larry L., Isaiah, Jeremiah & Lamentations, Carol Stream, Ill, Tyndale House Publishers, coll. « Cornerstone biblical commentary », 2005, p. 211-213.
v Watts John D. W., Isaiah 34-66, 2e éd., Nashville, Thomas Nelson Publishers, coll. « Word Biblical Commentary », vol.25, 2015, p. 727-739.
v WestermannClaus, Isaiah 40-66: A Commentary., trad. David M. G. Stalker, Louisville, SCM Press, coll. « The Old Testament Library », 1969, p. 206-217.
v Whybray R. Norman, The Second Isaiah, London, T & T Clark, coll. « T & T Clark Study Guides », 2003.

B. Articles

v Kaminsky Joel et Stewart Anne, « God of All the World: Universalism and Developing Monotheism in Isaiah 40-66 », Harvard Theological Review, vol. 99, no 2, 2006, p. 139‑163.
v Lindsey F. Duane, « Isaiah’s Songs of the Servant, Part 2: The commission of the Servant in Isaiah 49:1-13 », Bibliotheca sacra, vol. 139, 1982, p. 129‑145.
v Longacre Drew, « Developmental Stage, Scribal Lapse, or Physical Defect? 1QIsaa’s Damaged Exemplar for Isaiah Chapters 34–66 », Dead Sea Discoveries, vol. 20, no 1, 2013, p. 17‑50.
v Römer Thomas, « Monothéisme et réconciliation en Esaïe 40-55 », Foi et vie, vol. 93, no 4, 1994, p. 51‑65.

C. Autre

v Macchi Jean-Daniel, « Esaïe 40-66 », Introduction à l’Ancien Testament, http://www.unige.ch/theologie/distance/courslibre/atintro2005/documents/16.%20Deutero-esaie.pdf, 2005, 17 p.
[1] Blenkinsopp, 2002, p. 298. [2] Bonnard, 1972, p. 216.bbb [3] Paul, 2012, p. 322. [4] Watts, 2015, p. 729, a « motif du serviteur », assez bien adapté pour faire liaison avec les autres trois chants. [5] Ce nom pour les chants est seulement une convention après les travaux de Bernard Duhm. En fait « l’expression עֶבֶד יהוה n’y apparait pas » dans ces chants (voir Bere, 2012, p. 41, nt. 190). [6] Whybray, 2003, p. 41, expose très bien la difficulté d’expliquer le but de l’ordre de chaque chant dans son contexte précis. [7] Paul, op. cit., p. 323. Indique que « Ce concept de nomination et de mission est très courant dans les inscriptions royales de Mésopotamie, qui indiquent souvent que le roi a été choisi pour régner avant même sa naissance. » [8] Cependant, le but du Ps 117 est de rendre honneur à la divinité pour ses qualités ; dans les hymnes, elle est louée pour ses faits. [9] Blenkinsopp, 2002, p. 69. [10] id, op. cit.p.70 [11] Moore, et al., 2016. [12] Macchi, 2005, p. 11. [13] Whybray, op. cit., p. 12. Datation différente que Macchi, car il présuppose que l’auteur du DtEs s’attendait être libéré avec la chute de la Babylone. [14] Obenga, 2005, p. 700. [15] Paul, 2005, 19. [16] VIII.ii:5; CAD N/1:246 dans Paul, 2013, p. 324. [17] Magum, 2014. [18] Strong, 2009. [19] Brown, 2000. [20] Op. cit. [21] CAT 1.4.V:53–54 dans Paul, 2013, p. 331.
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